La lumière du matin s’étendait mollement sur les toits d’Istanbul, mais dans l’atelier d’Elif, ce n’était pas la précision qui guidait les gestes. Le monde y vibrait différemment, via les reliefs, les sensations olfactives et les sons ténus du vacarme. Dès les premières heures habituels, les voyances commençaient à bien https://reidaozhn.blogdemls.com/33965405/le-excuse-silencieux