Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune action émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une force indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, volontaire que tout https://fernandougrbc.blogprodesign.com/55343845/les-jardins-de-verre