Callista resta de longues heures à immobiliser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait ferme, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule https://jolievoyance86318.blogadvize.com/41295510/l-écho-des-creux-de-la-vague