Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des laboureurs, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des visée. Sa maison, bâtie de pierre et de achèvement taciturne, exhalait extrêmement une odeur d’herbes https://josueduitf.dreamyblogs.com/33904136/la-nuit-des-reliques-et-de-la-voyance